samedi 24 février 2007

Cours en ligne

L’utilisation le chat informatique comme la méthode d’enseignement est toujours difficile pour les apprenants et pour l’enseignant. Elle nécessite une préparation minutieuse et l’organisation exceptionnelle du côté de professeur. Pour l’étudiant, c’est des efforts considérables de la concentration et de la communication avec intensité pendant quelques (trois) heures.

Ça ne signifie pas qu’il faut renoncer de cette activité pédagogique, au contraire, elle possède de nombreux avantages, tels que :

  1. Proposition l’aide et des ressources permanentes immédiatement.
  2. Échange synchrone des opinions.
  3. Communication en conditions confortables, etc.

De plus, ce cours en ligne a montré de même son inefficacité, parce que :

  1. Les objectifs pédagogiques du cours étaient atteints particulièrement.
  2. La ligne logique de discussion était souvent interrompue par la communication séparée entre des apprenants.
  3. Le rythme accéléré du chat déroge aux principes de la pédagogie différenciée, notamment, le respecte le propre rythme d’apprentissage d’un apprenant.
  4. La concentration sur le même point d’écran durant de longs temps avec l’état de tension permanent contribue à l’irritation des yeux, maux de tête, et peut provoquer une fatigue physique et nerveuse intense.

J’aimerais exprimer mon propre regard sur l’intégration de Skype (messagerie) en éducation :

  1. Le remplacement total d’un cours éducatif par l’activité basée sur l’utilisation de la messagerie est inadmissible.
  2. L’utilisation pédagogique de Skype est efficace comme un moyen de consultations.
  3. La quantité de participants ne doit pas dépasser de 3-4 participants parce que la communication de petits groupes est plus interactive.
  4. La durée du travail incessant doit constituer presque 90 min. (Jensen, 2001, p. 47)

Je pense que le cours en ligne serait plus productif, si l’enseignant partageait le groupe en 3 petits groupes et travaillait avec chacun pendant une heure.

Comme conclusion, je voudrais faire ressortir que l’utilisation de Skype contribue à varier l’enseignement et à exciter l’intérêt des étudiants.

Réf. : Jensen, E. (2001) Le cerveau et l’apprentissage : mieux comprendre le fonctionnement du cerveau pour mieux enseigner. Montréal-Toronto : Chenelière/McGraw-Hill.

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